VIVE LES FRUSTRES, WOODMAN EST-IL UN VIOLEUR ?

Pierre Woodman is one of the biggest porn maker of the world. Ask him everything you want to knows about girls and porn business. Hot News inside.
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PIERRE WOODMAN
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VIVE LES FRUSTRES, WOODMAN EST-IL UN VIOLEUR ?

Post by PIERRE WOODMAN »

Un ami vient de m'envoyer le lien vers ce pamphlet aussi con que méchant mais que je met en ligne pour montrer à quel point leur immense connerie me fais marrer !!!
Et on va voir si la lettre de mon avocat pour ce qui concerne Michel Ricaud va bien les faire rigoler eux aussi !!!
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Films de Q
Actu, Education, Journalisme, Politique, Sozial — Article écrit par Lounès le 10 décembre 2011 à 9 h 30 min

Docilité des masses et impunité de « l’industrie »

Pierre Woodman. Quintessence de vieux gros porc immonde dont la gloire consiste à visiter les pays pauvres d’Europe de l’est à la recherche de jeunes vierges désargentées pour les enculer devant caméra en les insultant copieusement en français pour enfin se finir dessus en hurlant effroyablement pour bien exprimer l’idée de soulagement maximal. Woodman c’est le triomphe de Baalzéboul. Ancien policier reconverti dans les castings pornos, il a initié par enculage plus de 3500 filles de familles pauvres dans ses « castings » avant de les envoyer converties en putes sur le circuit de l’industrie X. L’homme est notamment soupçonné d’avoir assassiné par noyade un certain Michel Ricaud, ancien magnat du X français, pour occuper la place qui est la sienne actuellement. Woodman est millionnaire et roule en Ferrari. Voilà l’heure qu’il est. Passant, contemple la morale de ton temps, gravée au burin sur le frontispice des écoles de Sodome elle dirait ceci : « Assassine ton complice, pervertit des jeunes filles, encule les devant caméra et fais en des films que tu vendras pour t’acheter une FERRARI ».

En l’espace d’une demi-heure Woodman aura traité la petite Ilanna quarante-sept fois de « salope », dix-neuf fois de « sale petite pute » et huit fois de « sale petite putain ». Lorsqu’elle est entrée dans la pièce elle ne savait pas vraiment de quoi il s’agissait. Elle n’en est ressortie qu’une fois copieusement insultée, déflorée, salopée, enculée, dénaturée de toutes les manières possibles et foutrée dans la gueule. Et lui en est ressorti plus reconnu encore, « reconnu dans le business » et très respecté, admiré pour les admirables nouveaux talents qu’il a déniché et apporté à la profession, invité chez Cauet (véridique), accepté comme personnage parfaitement fréquentable. La seule chose qui puisse rendre quelqu’un infréquentable en ce monde, c’est le racisme. En dehors de ça on a le droit de tout faire, absolument tout.

Pierre Woodman est la preuve vivante qu’il n’existe pas d’extrême droite, nulle part. Il est la preuve vivante qu’il n’existe aucun véritable défenseur de la race blanche ni aucun véritable gardien de ses frères ou de quelconque morale religieuse ni en France ni dans tous ces pays d’Europe de l’est. Lui et toutes les raclures planquées à Los Angeles qui depuis leurs villas protégées déversent dans le monde des torrents gigantesques de concentré de poison ultra-dissolvant anti-race blanche intitulés « entertainment for adults » n’ont jamais été inquiété depuis toutes ces années. D’ailleurs il est assez instructif de se renseigner sur ces gens-là. Qui sont-ils ? Ces réalisateurs, producteurs, « agents d’actrice », gérants de salon du porno… Pour putifier la femme blanche avec autant de rage, d’assiduité et de raffinement pervers il fallait peut-être détester secrètement la race blanche tout en prétendant en faire partie. Qui sont-ils ces maîtres du porno ?

Paris porte de Choisy un dimanche gris et froid de fin novembre, le kiosque à journaux affiche les titres de plusieurs magazines ennuyeux du moment. Seul le fond rose fluo du « Chobix » du mois attire le regard, même à trente mètres de distance. On nous promet cette fois « 11 scènes, 15 filles » pas moins.

Conversation du futur, brève de comptoir de l’an 2030 entre potes d’ESC qui ont appris l’anglais sur des sites de cul : « ouais chui davantage long-lasting en doggy… Dis toi que sans cockring j’arrive à performer 40 minutes easy jusqu’au cumshot. C’est vachement gratifiant pour le self-esteem »

« ooooh mâ gooo’d… » (chuchotement de pervers ébahi, accent français nasal)« ooooh bèbè zat’s so beautiful… show mi dat asshôle… yè dou zate… show mi… ».

Manuel Ferrara, Big Tits Anal Whores #3



1/ Une machine d’avilissement des masses

La manifestation visible de principes invisibles

Détruire et frustrer

Il s’agit de mettre en scène la dégradation, le cochonnage systématique de toute beauté de toute innocence, une pulsion de destruction, l’envers de l’eros, l’eros transformé en pulsion de mort, en pouvoir extatique de dégueulasser, de dénaturer, de pourrir ce qui est frais, d’empoisonner ce qui est pur. On te met des nanas qu’on sélectionne les plus innocentes et pures possible, on les fait ressembler à des petites filles et on les livre nues aux énormes bites. Voilà bien le schéma. La pornographie c’est l’organisation de tout cela en contenus, en supports et en structures et en entreprises bref, en irruptions légales et imparables dans la sphère grand public. L’irruption impunie, légale et même applaudie de l’immonde dans le monde.

Ce que veut le diable c’est entraîner les gens dans la merde, mais qu’ils y aillent de leur plein gré. Y a pas plus immonde abaissement, plus répugnante dégringolade quand on y réfléchit deux secondes, que de rentrer chez soi se branler. A ce titre, la pornographie est une machine qui démolit l’image de la femme certes, mais aussi et surtout la dignité de l’homme, aspect que l’on oublie souvent de mentionner. On parle bien de « l’industrie du porno ». Or comment produit une industrie sinon avec des machines précisément ? Et quel est le travail qu’accomplit cette machine en définitive ? Réponse : elle écréme les hommes. Ecrémer, ranger les reproducteurs d’un côté et les cocus les vaincus de l’autre. La pornographie annihile les velléités dans le réel du « branleur » en captant ses désirs, en l’habituant à se satisfaire de cet ersatz, en l’habituant à moins souffrir du rejet… Mais le contrecoup de ce travail d’écrémage c’est ?… c’est qu’il filtre, sélectionne et élimine les « branleurs » du champ de la relation sexuelle possible et réelle. La pornographie endort la frustration mais ne la traite en rien : en fin de compte, tout « branleur » s’élimine de fait du combat, et de son plein gré. Son envie de baiser, cette énergie vitale étant détournée et endormie, il sera moins motivé pour sortir et rencontrer vraiment les femmes, pour trouver une femme, pour vivre réellement la chose. Mécanisme d’évitement : « ça vaut autant le coup de se branler que d’aller sur le terrain ».

Et pour bien aller au bout des choses réfléchissons sur l’absurdité de la branlette devant un film de cul. Si l’on est honnête on arrive certainement à cette conclusion : c’est se branler en regardant un autre type baiser la meuf qu’on aimerait avoir, et lui faire gagner du fric en consommant sa production pornographique, celle-là même par laquelle lui continue à être payé et « aimé », et celle-là même par laquelle on est en train de dépenser temps, énergie et parfois argent, qui tous trois sont reversés à l’immonde enculeur de ta vie live and direct sur l’écran.

Les imbéciles se guinnsent tous devant l’homme leur ennemi objectif, ils se guinnsent pour lui, de lui, par lui. Ils jouissent de leur propre défaite. A chaque seconde dans tous les foyers du monde, à Salvador à Manille à Lubumbashi à Burgos leurs faces absorbées, passionnée par le trailer intitulé « bitch takes it deep anal + facial » donne à réfléchir sur la capacité de l’homme à sombrer sans honte dans la fange en pleine connaissance de cause. Ils apprennent l’anglais grâce aux films de cul.

Mais une question comme ça, gratos : en dernière instance qui jouit ? Qui jouit dans les films de cul ? Les mecs ? Ils sont tous gavés de viagra ! Et ils répètent les scènes, augmentent les doses, un simple missionnaire ne les fait plus bander, trop classique, la plupart ne regardent même pas les filles qu’ils baisent… Les branleurs ? Ils ne jouissent pas autant qu’ils voudraient : ils voudraient que ce soit REEL. Conclusion, tout le monde est frustré dans cette affaire. Et pendant ce temps le diable, qui lui ne perd pas le nord, tisse sa toile : détournement de la libido, nocivité des images, désirs détraqués, incapacité à vivre une sexualité de mari responsable, impossibilité de procréer. Pas de femme, pas d’enfant. CQFD.

Mutation des pratiques sexuelles

Comment la sodomie qui était, il y a peu de temps encore, la honte et l’interdit absolu aux Etats-Unis est-elle devenue une pratique aussi banale que dans les autres pays ? Comment ce dernier verrou a-t-il sauté ?

Voilà comment : la concurrence a fait s’aligner toutes les filles. Au début des années 2000 de nombreuses actrices d’Europe de l’Est débarquent aux US, « invitées », tournent dans des films dans lesquels elles passent pour de pures WASP (beauté physique similaire, pseudonymes anglais au générique, doublage des voix…), et prennent systématiquement dans le cul, ringardisant les actrices US conséquemment forcées de s’aligner pour rester dans la course. 10 ans après c’est anal pour tout le monde, systématiquement. C’est comme ça que le diable avance, se battant sur les bordures extérieurs, aux confins de la civilisation, tout là-bas bien après les frontières du convenable, là ou l’on ne veut pas voir, il gagne de petites batailles chez les populations les plus dépravées, pendant que les gens comme-il-faut croient que cela ne les concerne pas. Au IVème siècle le citoyen romain avait-il compris que les victoires des Huns sur les Goths étaient le début d’un processus d’effondrement par effet de domino ? Peut-être que la généralisation de l’anal dans les films de cul américains est l’évènement le plus grave des dix dernières années, sans rire.

Laissons David Wynders consultant pour les « AVN awards » nous parler de ce phénomène :

« Tout s’est joué au tout début des années 2000. L’arrivée sur le marché américain de toutes ces actrices d’Europe de l’est a complètement changé la donne. La plupart étaient d’origines gitanes comme Sandra Romain, Angel Dark, Monica Sweetheart, Nikita Denise etc, et elles arrivaient de tout en bas de l’échelle et découvraient le rêve américain et n’avaient pas les mêmes tabous que les américaines blanches en matière de sodomie et de relation interraciale par exemple. La généralisation de ces pratiques à l’écran par des actrices étrangères mais vues comme blanches a permis d’en faire accepter l’idée à la « girl next door » américaine et a permis une évolution des mentalités ».

On n’a sans doute pas mesuré les dégâts que peuvent produire ce genre de tout petit changement qui pourrait paraître négligeable et simplement cantonné à un secteur marginal de la société.

Dans la société américaine les interdits sautent les uns après les autres à une vitesse hallucinante et viennent grossir le rang des « catégories » : Facial puis Anal puis Interracial puis Interracial Anal jusqu’à finalement obtenir l’accomplissement factuel de la pire insulte de gamin de cour de récré qui disait souvenons-nous : « va te faire enculer par une bite de noir ». En quelques années la situation s’est retournée d’une façon incroyable. Nous sommes prêts à parier très cher que l’évolution récente de la pornographie a contribué à préparer la génération Obama, ce dernier étant carrément l’incarnation d’un glissement de terrain initié précisément à l’époque de sa naissance.

Video numérique + petit budget = gonzo

Gonzo + internet haut débit = énorme influence sur la société

Quatre preuves de la forte influence du porno sur la société

Un tiers de tous les téléchargements qui ont lieu sur le web sont des téléchargements de contenu pornographique. Voilà qui laisse augurer de l’importance du torrent d’images qui se déverse, mais aussi peut-être de leur sournoise influence dans la vie privée de tout un chacun. On citera au moins quatre éléments qui semblent être les « fruits » de la pornographie sur les mentalités :

- 1/ Le string : le port du string à grande échelle remonte sauf erreur de notre part, à l’année 2000 (toujours cette année 2000, année charnière pour le nombre de connections à internet).

- 2/ Le ticket de métro : épilation minimale du maillot certes très esthétique mais qui ne saurait faire oublier l’origine de cette mode (les films pornos) qui remonte vraisemblablement au tout début des années 2000.

- 3/ D’étranges MST : un article du Figaro aujourd’hui malheurseusement introuvable notait la récente recrudescence de maladies aux noms compliquées dont le mode de transmission consiste tout simplement en une infiltration de merde étrangère par capilarité dans les muqueuses du gland par exemple. Cela signifie en clair qu’il y a une augmentation de la sodomie dans notre société.

- 4/ Le vocabulaire : Le jargon du porno fait irruption dans les conversations que l’on peut avoir en société. Ainsi on se vantera d’avoir « serré une milf » ou encore une « cougar ». Telle actrice interviewée en prime time sur une chaîne grand public (exemple : émission de Cauet ou de Morandini) déclarera être prête pour le « bondage » mais pas encore pour le « extreme bondage ».



2/ La pornographie comme cadre d’expression objectif de l’extension du domaine de la lutte

Les films de cul sont-ils des films dans lesquels il y a du cul, ou sont-ils du cul filmé ?



Donnée socio-démographique

Pour évoquer ce sujet de façon exhaustive on commencera par affirmer de façon péremptoire la chose suivante : contrairement à ce que l’on croit il y a en France beaucoup plus d’hommes que de femmes dans la population totale, notamment du fait de l’immigration. Cette donnée devrait au niveau mondial s’aggraver puisqu’il semble que dans certains pays très peuplés il y ait des avortements nombreux lorsque l’échographie montre que l’enfant attendu est une fille. Ainsi faudrait-il envisager un futur particulièrement affreux dans lequel il y aurait (aura ?) un déficit de femmes. Imaginons les retentissements désastreux qu’un tel phénomène pourrait avoir sur des hommes déjà rendus naturellement agressifs dans le partage de femelles numériquement en léger surnombre… Quelles peuvent être les conséquences? Nous en voyons au moins deux :

- Phénomène d’inflation : des femmes moins nombreuses donc « économie de la rareté », donc encore plus sélectives, irascibles, exigeantes, casse-couilles, ingrates, radines en bonté (Paris est le stéréotype de ce phénomène).

- Augmentation de la consommation de pornographie par les hommes (mécanisme d’évitement).

Comme quoi la pornographie n’est pas prête d’être freinée.

Recherche éperdue de la générosité

Ce qui définit la grande starlette de X est sa générosité. C’est en faisant la preuve d’une telle générosité que, dans La Collectionneuse, Clara Morgane s’est révélée aux amateurs de films pornographiques. La scène où elle faisait l’amour avec le vendeur d’aspirateur qui venait de sonner à sa porte a en effet causé une surprise davantage due à la fougue et au naturel de Clara Morgane, qu’au dispositif cinématographique banal du réalisateur. La générosité, semblait-elle se rendre compte alors, est une vertu nécessaire, dès lors que le succès dans la production d’un effet requiert de s’y livrer complètement. Comme la condition de l’intensité d’un tel effet consiste précisément en l’ampleur du don qui y préside, c’est à la générosité dont fait preuve la starlette que pourra être mesurée la force de sa prestation. Dans le cinéma pornographique comme ailleurs, la pingrerie n’est jamais populaire.

Laurent de Sutter « Pornostar, fragments d’une métaphysique du X » (p. 72)

Que recherchent les hommes dans la pornographie ? Pourquoi peuvent-ils renoncer au combat de la drague et du « sexe pour de vrai » et s’enfermer pour se masturber ?

Un élément de réponse. Ils agissent ainsi car souvent le jeu n’en vaut pas la chandelle. On peut être tenté de lâcher prise devant la difficulté et la cherté du plan drague-baise. Mais surtout, l’aspect fort décevant des relations ordinaires constitue une source de découragement chronique. Dans une société qui, au lieu d’encourager les hommes à être très masculins et les femmes très féminines, pousse chacun à devenir plus ou moins des hommes-femmes indifférenciés (et c’est bien là le ton de l’époque), la concrétisation de la rencontre intime ne peut qu’être source de malentendus puisque les rôles de chacun sont mal définis.

Or dans une structure traditionnelle c’est beaucoup plus simple : il est entendu que l’homme fasse son office et que la femme y consente. « Mari aimez vos femmes et femmes soyez soumises à vos maris ». D’ailleurs il y a fort à parier que les couples qui vivent de manière traditionnelle et rébarbative (en apparence) soient en réalité beaucoup plus épanouis que la moyenne, et « s’éclatent » davantage.

Mais des années d’éducation gauchiste et féministe ainsi que trop de guerres perdues ont rabaissé l’image de l’homme occidental (surtout celle du Français de souche) et suscité chez les femmes des sentiments d’orgueil mal placés, une sorte de jouissance à ne pas se donner totalement, à retenir cette générosité, laissant entrevoir cet instinct de salope engravé dans leur cerveau reptilien : « je ne me donne qu’au plus triomphant vainqueur». Les femmes ne sont pas de gauche. La sélection naturelle n’est pas de gauche.

La générosité voilà ce qui manque à la plupart des jeunes femmes de notre temps. Cette générosité sexuelle de jeune femme qui sait se prêter, se donner comme une chose agréable.

Combien de conasses parlent d’amour et ne savent pas le pratiquer, alors qu’il convient de faire exactement l’inverse ? En Thaïlande les filles massent les épaules de leur père lorsqu’il rentre du travail. Elles en acquièrent par la suite un sens infaillible du toucher, une intuition très exacte des caresses qui plaisent à un homme. Chez nous la plupart des femmes ne savent pas caresser, ne savent pas toucher, ne savent pas faire véritablement plaisir. Elles n’arrivent pas à se rendre vraiment disponibles, à l’écoute, à accueillir non seulement avec le corps, mais aussi avec l’esprit. Souvent incroyablement brutales dans leurs gestes et dans leurs paroles, leur ignorance des choses de la volupté désespère les hommes.

Pourquoi presque tous les hommes de cinquante ans font ou voudraient faire des séjours en Thaïlande ? Pourquoi « Plateforme » ?

Objectivement le sommet de la hiérarchie dans une société

Il est évident que de nos jours, plus personne n’a de rapport éthique au travail. On le prétend, mais c’est faux. Car s’il n’y a plus de morale il ne peut plus y avoir d’éthique qui énoncerait « je fais mon travail comme si c’était une mission sacrée et je m’y emploie avec une irréprochable ligne de conduite ». Et il suffit de regarder les cohortes d’étudiants en ESC pour s’en assurer : place aux mercenaires, les passions ne sont plus, les vocations sont vaincues par un marché du travail tellement sélectif qu’il écœure les postulants et les résout à des carrières plus « raisonnables ». Ainsi, combien de brillants esprits aura-ton vu finir en ESC à apprendre des leçons débiles sur l’univers des marques… Coupé de l’éthique et réduit à sa plus simple expression, le travail se justifie alors par 2 piliers : 1) Chercher à « s’éclater » le plus possible dans son job, 2) Chercher à gagner le plus possible d’argent.

Maximiser le plaisir, maximiser l’argent.

Réduit à ces deux critères, quel serait alors le meilleur travail possible ? Il semble que l’on puisse dire que la place la plus enviée soit non celle du banquier qui a réussi, non celle du pilote de F1, du footballeur, du politique ou du magnat de l’immobilier mais celle de l’acteur porno qui a réussi. En effet toutes les autres catégories, aussi enrichies et vainqueurs soient-elles, pratiquent en définitive une « activité intermédiaire » qui n’est qu’une étape dans la course à l’argent et aux femmes. Mais l’acteur porno lui, vit sans intermédiaire et « traite en direct » : l’accès aux femmes est en lui-même une source d’argent. En quelque sorte il saute une étape, il raccourcit et simplifie encore la victoire, il en fait une tautologie dans laquelle femmes et travail s’alimentent l’un l’autre comme un « compte de résultat » composé uniquement de gains pendant que les autres catégories sont dans un schéma ou femmes et travail s’annulent l’un l’autre (le travail rapporte mais les femmes coûtent cher).

De la pornographie en Amérique

Avant « l’actrice porno » c’était une trentenaire bien vulgaire le genre fausse blonde bronzée à l’Oenobiol avec du maquillage bien poivré et tout un attirail de porte jarretelles bref : pas de doute c’était bien « la pute ». Mais aujourd’hui tout se mélange, les frontières du convenable s’effacent et on marche sur la tête. Il n’y a plus aucune différence entre une présentatrice de JT et une actrice de cul. Il suffit de regarder Erika Moulet. Du style « girl next door » on est passé au style « petite fille » ces dernières années, et la prochaine étape ce sera quoi ? Et le plus ahurissant dans l’affaire c’est que les « petites filles » ne sont pas vraiment exploitées dans les faits. Les trois quarts des actrices américaines ce sont ces filles de moins de 20 ans issues de familles blanches désargentées de villages du Middle West qui prennent une année de break entre le « highschool » et le « college » afin de mettre de l’argent à gauche.

« Chez les peuples protestants, les jeunes filles sont beaucoup plus maîtresses de leurs actions que chez les peuples catholiques. Cette indépendance est encore plus grande dans la démocratie d’Amérique dont la Constitution garantit les libertés fondamentales. La jeune fille est vite affranchie de la tutelle de ses parents. Elle est rarement ingénue ou naïve car on l’a informée assez tôt de la réalité du monde sans chercher à lui dérober des vérités. Elles pensent et parlent avec audace et aisance. »

Tocqueville, De la démocratie en Amérique, Tome II (1840)

Elles ne sont pas marginales ni toxicos. Elles ont absolument leur destin en main et savent exactement de quoi il retourne en s’engageant dans le porno. Toujours cet aspect « de plein gré »… On aimerait bien pouvoir dire qu’elles sont exploitées, que ce n’est pas leur faute… Mais il n’en est rien. C’est un choix libre selon toute vraisemblance.

« Elle possédait d’amples ressources, cette amie puisqu’elle se faisait dans les cent dollars par jour en maison, tandis que moi, chez Ford, j’en gagnais à peine six. L’amour qu’elle exécutait pour vivre ne la fatiguait guère. Les Américains font ça comme des oiseaux. «

Céline, Voyage au bout de la nuit

Ces femmes très difficiles à comprendre qui veulent beaucoup de pouvoir mais en même temps souhaitent être dominées sur commande par plus fort qu’elles. Dans la course à la puissance elles montent elles montent et bien malin celui qui montera plus haut encore : à lui tout le cheptel. Le marché du cul est un truc sans pitié, le plus brutal combat qui soit, le plus caché et honteux aussi, dans lequel jamais les vaincus ne pipent mot. C’est le silencieux secret immanent, le broyeur de faibles. Si Houellebecq est l’écrivain vivant « le plus doué de sa génération » c’est parce qu’il est parvenu mieux que les autres à décrire la vraie misère de sa génération : la misère sexuelle.

Disparition des frontières entre marginalité et grand public

Manu Ferrara ambassadeur pour la marque de fringues « The Wicked One », Charlotte Stokely, Lauren Phoenix, Sasha Grey, Faye Reagan et beaucoup d’autres, ambassadrices pour la marque « American Apparel », Lex Steele dans des séries américaines, Sasha Grey dans un film de Steven Soderbergh, Pierre Woodman passe chez Cauet, de nombreuses actrices apparaissent dans des clips de rap diffusés sur M6…

Les acteurs et actrices ont des blogs et des comptes Twitter pour vendre en direct leurs films au public. Ils commenteront sur leur blog leur scène du jour et annonceront sur Twitter leurs prochaines productions, ils annonceront leurs prochaines scènes sur Facebook, « 181 personnes aiment ça ». « Bravo pour cette éjac’ Manu ! ». Textuel.

Ainsi avec cette perméabilité du « mainstream » ( le marché grand public) aux attaques de la morale « borderline » (marginale) on a vu des parisiennes étudiantes en archi’ faire des passes pour gagner de l’argent de poche, des clubbeuses se faire draguer et accepter de coucher seulement si le type paie (Zahia)…

Les actrices sont des « escort »

La très grande majorité des actrices porno gagnent les sommes d’argent les plus faramineuses non grâce aux tournages mais grâce aux passes qu’elles facturent en tant qu’escort-girl à des clients privés.

En effet la pornographie est en réalité pour elles non pas une fin mais un moyen, une vitrine de notoriété, une publicité payée vantant les mérites de leurs services. Des services très lucratifs qui forment en réalité le véritable motif de l’entrée en pornographie de jeunes femmes des classes moyennes. Voilà l’explication de ce « choix libre ». Pensez donc : des passes à 2000 dollars ! Qui peut douter que dans « The girlfriend experience » de Soderbergh, Sasha Grey n’ait pas exactement joué à l’écran le rôle qui est le sien dans la vie ainsi que celui de centaines de ses consœurs ? Alors tu la sens la puissance de Babylone gros ?

La sélection naturelle

Or, c’est précisément ici que se déploie tranquille l’impitoyable sélection naturelle. Eternel retour du schéma immanent forts/faibles. Tout en haut sont les forts : les acteurs payés pour baiser ces filles (Sasha Grey etc…). Puis, en-dessous on trouve les clients fortunés qui peuvent aisément payer pour une heure de baise avec telle fille un jour, avec telle autre fille un autre jour. Puis en-dessous encore, les clients peu fortunés mais prêts à se ruiner pour une heure de bonheur avec une fille de rêve (et là on en revient à l’urgence que représente le gain d’argent). Et enfin tout en bas de l’échelle, voici les cocus de la vie qui vont à tous les salons du porno, qui achètent tous les dvd, qui s’abonnent aux sites, ils sont les pauvres, les laids, les surcocus qui paient pour se branler devant la vie qu’ils aimeraient avoir mais n’ont pas, les Tisserand 2011 qui par-dessus le marché, cerise sur la gâterie, gland rouge sur la creampie, paient, rétribuent, subventionnent, encouragent les forts qui les ont vaincus, ces forts qui baisent et rebaisent et re-rebaisent celles qu’ils auraient voulu avoir, repus d’orgasme à 25000 euros la scène dans la gueule d’actrices mannequins qui facturent le même montant pour une seule nuit avec le commun des mortels. Etre un looser et vivre par la bite des winners, par le truchement de leur bite. L’absolue défaite: vivre par l’intermédiaire du winner qui t’a niqué de façon immanente. La sélection naturelle.

L’interracial comme continuation de la haine raciale par d’autres moyens

La généralisation de l’accès à internet depuis le secret du domicile à toutes les couches de la société à toutes les catégories raciales de la société n’a pas entraîné une diversification des modèles féminins, non il a entrainé une diversification des modèles masculins qui baisent les mêmes modèles féminins qu’avant. C’est ça la diversité. En clair : l’immense majorité des actrices reste de race blanche, mais chez les acteurs on constate depuis 10 ans le déferlement d’acteurs plus ou moins basanés. Tant mieux ? Dans les faits on est loin de Benetton et du dialogue entre les peuples, y a qu’à lire les titres de ce genre de productions dont la traduction serait grosso modo « Salopes blanches pour bites noires ».

C’est la continuité logique de l’onde de choc de la rue. On peut s’interroger sur ce qui peut se passer logiquement dans la tête d’un étranger en âge de procréer se promenant dans une ville européenne. Exemple : c’est quoi en France les modèles des publicités de prêt-à-porter qui parsèment les murs? Rien que des Aryennes. Et même pas des françaises, tu vas pas me faire croire que les nanas des publicités à Paris sont françaises ? Y a pas une seule française qui a ces tronches là. C’est rien que des Aryennes très nordiques, la plus rare « denrée » du monde. Un tout petit centième de percentile de beauté « rare » et c’est immédiatement la ruée la curée tout le monde se jette dessus. Un message très clair est envoyé aux hommes en continu via toutes ces publicités : « plus elle est blanche et plus ça vaut ». Or, comme il y a beaucoup de demande et très peu d’offre, cela crée une tension, une urgence permanente non-dite et difficilement perceptible, encore plus difficilement traduisible par des mots.

Pour couronner ce déséquilibre on a, côté hommes, un schéma à peu près aussi simple que celui-ci.

D’un côté on des immigrés mâles très nombreux :

- sournoisement hostiles, entraînés à la vengeance par une mythologie de la décolonisation, de l’esclavage et de la discrimination complètement mensongère.

- chauffés à blanc par mille messages publicitaires, films, chansons, votes de sympathie plus ou moins conscients et flatteries qui sont autant de signes de capitulation, à prendre la place de l’homme blanc.

- imprégnés d’une hiératique guerrière bien primaire, pétris d’encouragement au métissage et bombardés de publicités représentant des femmes blanches superbes et très provocantes qui elles n’en n’ont rien à foutre de la « lutte ». C’est à dire que l’on a respectivement le prédateur, le festin et la proie, soit un débouché dans le réel à des pulsions qui pour la plupart des autres gens sont restreintes à de la branlette sur du virtuel.

- dont le niveau de testostérone porté à incandescence par la surenchère quotidienne entre lascars de quartier s’ajoute à un instinct et à une intuition lisant clairement en filigrane de l’air du temps que leur jour de gloire est arrivée et que tous les voyants sont au vert, « qu’on peut les baiser ces fils de pute ».

De l’autre côté, on a une population native :

- coupée de toute virilité grégaire, de tout influx vital, de toute tradition, de toute légende, grandeur et mystère (et donc étant dans l’impossibilité de dégager un « charisme »), livrée nue aux fluctuations de son espace social qui est le seul qu’elle connaisse (contrairement aux immigrés qui jouent sur deux tableaux : le bled et la colonie), et ayant autant de prise sur les évènements qu’une vache sur les trains qu’elle regarde passer.

- composée en majorité d’hommes féminisés et entraînés à prendre fait et cause pour tout ce qui est davantage basané qu’eux.

- complètement abrutie d’admiration pour son alter-ego femme systématiquement placée sur un piédestal.

Dans un tel schéma, l’interracial (métissage) est la seule direction objective possible à la poursuite de la perpétuation de l’espèce. Dans le même temps, le porno ayant naturellement vocation à présenter les plus belles filles aux prises avec les plus grosses bites, à ce jeu là, voici l’effroyable retour du REEL qui s’étale devant les faces ébahies et/ou antiracistes : les plus grosses bites sont souvent noires, et les plus belles filles souvent blanches, voilà la situation bien bourbeuse bien grossière et indépêtrable à laquelle mène l’impasse de la pornographie.

Mais qui achète toute cette merde ? Comment se fait-il que ça trouve des débouchés l’interracial ? Qui paie ? Si l’on fouillait on trouverait que ce sont certainement des Blancs qui achètent tout ça. Tout ce courant procède d’une volonté autodestructrice à ne pas sous-estimer des hommes blancs eux-mêmes, volonté illustrée par exemple par d’incroyables forums de « cocus », ces maris échangistes lançant des offres d’appel pour mâles africains acceptant contre rétribution de baiser leurs femmes. Si ça existe, et même dans des proportions étonnantes. Mais reste une question en suspens cependant : qui produit toute cette merde ?

L’interdit absolu de nos sociétés étant le racisme, une très forte pression s’exerce sur les actrices pour qu’elles passent sous les fourches caudines de l’anti-racisme. « Mais non pour moi ça correspond à un vrai désir hi hi » clament-elles pour bien faire fermer leurs gueules aux « racistes ». Et pourtant, suspicion encore à celles qui font « interracial » mais pas « interracial anal ». Ce sont là de vraies histoires et de vrais sujets de polémique qui ont eu réellement lieu. Il faut fournir l’ultime indiscutable preuve d’antiracisme : être enculée par un noir. Voilà au fond la certification définitive, le tampon ultime, le véritable gage de bonne moralité, le passeport qui rend la race blanche fréquentable. Pendant ce temps-là, dans la « société », dans le monde intellectuel, les Wolton, Onfray et autres cocus habituels sont encore bloqués sur une épistémologie entièrement structurée par la vieille dualité raciste/pas raciste, vigilance républicaine etc.



3/ La pornographie comme source de compréhension de l’époque

Qu’est-ce que la pornographie nous dit sur notre époque et notre société ?



Le paradoxe de la femme

Au bout d’un moment c’est quand même bizarre toutes ces filles brutalisées, saisies à la gorge, souillées de toutes les façons possibles… mais qui consentent à ce traitement. Et même qui le demandent. Et qui surtout n’ont pas vraiment à se cacher du monde, n’ayant aucune condamnation morale à craindre.

Des filles qui se font défoncer dans le porno, et qui en interview montrent un visage impassible, une distance, une froideur, comme si elles étaient des personnes respectables (voir Sasha Grey invitée dans l’émission de Tyra Banks). C’est de cela que les humbles crèvent : du fait qu’il n’y ait personne pour les traiter de pute et leur faire honte, du fait qu’elles puissent encore être considérées comme filles « moyennes ». Et c’est bien normal qu’elles soient considérées ainsi lorsque l’on connaît le niveau de moralité d’une jeune femme « moyenne » occidentale de 16-30 ans. En réalité il y a sans doute très peu de différence entre une parisienne trop bonne et « libérée » de 25 ans et une actrice porno américaine de 19 ans si l’on compare le total du nombre de bites reçues par chacune depuis son dépucelage. Une illustration avec la chanteuse « Simone elle est bonne » dont le clip « PQR » décrit simplement le genre de jeune fille urbaine qu’il « faut » être. Autant dire qu’on est loin des livres à la con pleins de bonne résolutions du genre de « Ton corps pour aimer » écrit par un prêtre de diocèse désaffecté.

Etrange paradoxe de la « femme libérée » qui conçoit sa dégradation comme une sorte d’acte rebelle, « libre » et épanouissant. Etrange paradoxe de cette époque dans laquelle la véritable rebelle est en réalité, si l’on regarde bien, la catholique intègre par exemple, seule genre de fille qui prétend vivre à contre-courant de la pensée automatique et à en assumer les conséquences en matière de chasteté (lorsque la fille est effectivement catho intègre).

Si les salopes sont dépénalisées, alors elles n’ont plus mal, n’ont plus honte, n’ont plus peur. A ce compte-là, les femmes tuent les hommes. Pour qu’une société tienne debout il est nécessaire que les femmes aient « davantage honte » que les hommes à pratiquer l’acte sexuel. C’est le fameux paradoxe qui veut qu’en cas de nombreuses conquêtes sexuelles, l’homme soit un playboy et la femme une salope.

Pour la génération mâle née de parents soixanthuitards l’apprentissage de la vie a parfois été douloureux : non la plupart des filles n’aiment pas vraiment les poèmes ni observer les étoiles, blotties à ton bras un soir d’été. Ce sont des choses qui connotent la profondeur le sérieux, le solennel. Et elles ne veulent pas ça. Elles veulent du « fun ». Boire, « sortir », danser, flirter avec des types, acheter des trucs dans des magasins. A 15 années de distance, Sex & the City est l’exacte continuation logique d’OK Podium. Combien on parie que les consommatrices de ces programmes sont exactement les mêmes filles, juste un peu plus vieilles ?

Le classement par catégories complètement rationnalisées

Milliers de visages, de « catégories » et de combinaisons possibles de manière à ce que le spectre de la pornographie couvre l’entièreté des fantasmes sexuels de l’humanité. Des sites où l’on peut choisir ce que l’on veut voir : il suffit de remplir les champs « race », « type de vêtement », « type de prestation », « type de décor » etc… Un renouvellement à une vitesse incroyable. Nombre faramineux d’actrices, de scènes, d’acteurs, de réalisateurs, de sociétés, de catégories, circuits de distribution…

Devient une « discipline »

Les acteurs-directeurs se positionnent sur le marché par « façon de baiser ».

« A l’époque quand chui arrivé chez Platinum y avait des mecs très très forts… Y avait Brandon Iron, y avait Steve Holmes, y avait moi, y avait Tony Ribas… Donc des mecs euh… très très forts et qui faisaient des produits très forts. Tu sais ? Mais maintenant de ramener un mec comme Julian… ché pas si tu vois qui c’est… J’adore le mec, je respecte tu vois. Mais j’aime pas sa façon d’baiser j’aime pas sa façon de faire les films… »

Manu Ferrara, interview pour « la méthode cochon », Dailymotion.

Pour eux c’est très sérieux : il y a une histoire, une légende et une épopée du porno auxquelles ils sont fiers d’appartenir. Pour eux c’est un vrai truc, qui existe et qui se respecte et mérite d’avoir toute sa place dans le monde. Pour sûr qu’ils ont des théories sur le développement économique qu’apporte leur business aux pays libres.

La pornographie comme cadre d’expression de la maîtrise d’une discipline comme peut l’être l’Académie ou les Jeux Olympiques. Manu Ferrara a remporté 3 années de suite l’AVN award du « best anal scene » nous explique sa page Wikipédia.

Une société extasiée devant un gros plan sur un trou du cul distendu

L’ultra-segmentation de l’énorme marché de la pornographie débouche par exemple sur des séries de films spécialement centrées sur le « gaping » c’est-à-dire la dilatation anale d’une fille enculée. C’est simple : la bite se retire, la caméra s’approche à deux centimètres du trou du cul complètement ouvert et le plan reste fixe dix bonnes secondes pour bien qu’on puisse voir le trou noir, et l’on entend plus que la voix hors-champ de l’acteur « ooooh my God that’s so beautiful, oooh look at this ooooh that looks so good ». En effet c’est magnifique. Et des gens achètent ça. C’est vraiment la fin du monde quand on réfléchit deux secondes à ce que cela représente.

Relations sexuelles réduites à la stricte dimension gynécologique, soit le niveau le plus bas de la sexualité.

Phénomène de dévaluation

Après 2005, l’incroyable vague qui avait poussé vers San Fernando (la « Porn Valley » à Los Angeles) les plus belles filles d’Amérique et du monde, se tarit sans doute pour toujours, freinée par le piratage, l’apparition du visionnage en streaming gratuit et la concurrence avec des couples moyens diffusant gratuitement leurs ébats sur le net.

Au cours de ce retournement du marché, s’il est certain que de nombreux pornographes ont été éliminés faute de revenus, la pornographie elle ne s’est pas arrêtée.

Sont apparues des nanas toujours plus nombreuses, toujours moins belles et moins bien payées (corrélation directe entre l’aspect lucratif du métier d’actrice et la beauté de ces dernières, ce dernier aspect étant dépendant du premier et pas l’inverse), payées à faire du sexe toujours plus laid, de plus en plus réduit à son expression la plus simple, mécanique, utilitaire.

Ce processus est à mettre en rapport avec le phénomène de dévaluation dévastateur que produit la pornographie sur ceux qui en regardent régulièrement.

Sur les forums internet de type Doctissimo, de nombreuses femmes évoquent le problème suivant : des problèmes d’érection et de désir de leur mari, liés à une consommation effréné de porno de la part de ce dernier. Ainsi, contrairement à ce que l’on nous dit, la pornographie n’est pas « sans danger » : en produisant un niveau très élevé de performance (beauté, santé, luxe des décors, éclairage…) elle dévalue d’autant l’intérêt d’une relation sexuelle « normale ».

La pornographie est une tentation en libre accès, qui propose de faire un choix libre : accepter ou refuser. La liberté est étrangement lourde à porter. Robert Cash avait magnifiquement illustré cela dans un travail intitulé «Raphy : 05 » qui vaut vraiment le coup d’oeil.

Consommer de la pornographie implique une accoutumance, et donc une nécessité d’augmenter les doses.

Pour toutes ces raisons, il est à prévoir à l’avenir des cas exponentiels d’impuissance liés à la consommation de pornographie, des invraisemblables embrouilles financières de trusts pornographiques, des connexions de plus en plus fréquentes entre des supports de diffusion « mainstream » et la pornographie (les pubs American Apparel, Katsumi invitée chez Cauet, puis chez Ruquier, bientôt chez Claire Chazal etc…) et des cas comme celui-ci :

Un acteur X tue un homme à la machette

AFP
02/06/2010 | Mise à jour : 19:12 Réagir

Un acteur américain de films pornographiques, furieux d’apprendre qu’il allait perdre son gagne-pain, a attaqué plusieurs de ses collaborateurs avec une machette, tuant l’un d’entre eux et en blessant deux autres, a rapporté aujourd’hui le Los Angeles Times.

Stephen Hill, 30 ans, s’en est pris à trois personnes hier soir dans les locaux d’une entreprise de distribution de vidéos pour laquelle il travaillait et où il vivait, a indiqué le quotidien. Il n’aurait pas supporté d’entendre que l’entreprise n’avait plus besoin de ses services et qu’il perdrait du même coup son domicile, précise le journal.

L’acteur, qui a été à l’affiche de plusieurs films pornographiques, aurait poignardé ces trois personnes avec une arme de type machette avant de s’enfuir. Les trois victimes ont été transportées à un hôpital situé à Northridge, où l’une d’entre elles est morte. Le meurtrier présumé était toujours introuvable aujourd’hui.

Lorsque l’on comprend les enjeux de la pornographie, le niveau d’égo, de fric, de puissance de dégradation jouissive, de possibilité de gouvernement des masses, d’envie, de jalousie et de vengeance que ce truc représente, on imagine les intrigues de salopards qui doivent se tramer là-dedans. Déjà que dans un bureau de vente par téléphone de vérandas ce n’est pas joli-joli, mais alors appliqué à « the industry » ça doit être « l’épouvante radicale ». Les pires dégoûtantes raclures de la planète sont certainement ni à Wall Street ni à Kaboul mais à San Fernando. Ce qui est étonnant c’est qu’il y ait si peu d’affaires comme celle-ci-dessus qui soient connues du grand public.

Et ça sera tout.


Donc voilà, si vous avez réussi à lire cet article, bourré de mensonges, jusqu'au bout et que le coeur vous en dit, je vous invite à allez leur dire votre opinion !!!
http://ilikeyourstyle.net/2011/12/10/films-de-q/

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Re: VIVE LES FRUSTRES

Post by St Dav »

Il est la preuve vivante qu’il n’existe aucun véritable défenseur de la race blanche ni aucun véritable gardien de ses frères ou de quelconque morale religieuse ni en France ni dans tous ces pays d’Europe de l’est. Lui et toutes les raclures planquées à Los Angeles qui depuis leurs villas protégées déversent dans le monde des torrents gigantesques de concentré de poison ultra-dissolvant anti-race blanche intitulés
Bon déjà là on a compris à quoi on a affaire, pas besoin de chercher plus profond :(

Après les russkofs comico-dramatiques qui font aussi peur que rire, voilà les nazillons verbeux qui écrivent des pavés indigestes, on est pas sorti de l'auberge :?

Sieg Heil.... :o

PS:
Une société extasiée devant un gros plan sur un trou du cul distendu

Globox, je t'ordonne de faire un procès à ce mec tout de suite, appelles vite ton avocat! :arrow: :!:
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Re: VIVE LES FRUSTRES

Post by Grossemite »

Bon, je me suis enfilé cette purge toute entière, je me déteste de pas avoir arrêté au premier paragraphe, et je déteste ce mec qui met son diplôme de philo au service de son aigreur au lieu de s'en servir pour se torcher ou caler la table.

Je m'en vais d'ailleurs le lui dire.

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Re: VIVE LES FRUSTRES

Post by St Dav »

Nous sommes prêts à parier très cher que l’évolution récente de la pornographie a contribué à préparer la génération Obama
Oh putain mais euhhhhh , c'est pas un avocat qu'il faut, mais un psy, d'urgence! :idea:
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Re: VIVE LES FRUSTRES

Post by PIERRE WOODMAN »

Oui ce petit Ribouldingue semble être un gentil fasho frustré jusqu'à la moelle de l'os !

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Re: VIVE LES FRUSTRES

Post by davidc »

Ahahahah c'est vraiment de l'arme de destruction massive au niveau de la connerie absolue!!!!

Pierre ce con t'accuse de t'enrichir avec le X.... dis lui qu'on est plus dans les années 90 et qu'il y a des secteurs 100 fois plus rentables que le X,l'immobilier par exemple!!! Booz donne lui des cours d'économie a ce frustré!!! le X après la faillite de Private il y a pas grand monde qui veut se lancer dedans (pierre c'est différent il y est depuis très longtemps), mais des jeunes qui te disent on va se faire des pépéte dans le X.... tu n'en trouve plus sur terre..... peut etre sur mars!!!
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Re: VIVE LES FRUSTRES

Post by PIERRE WOODMAN »

Oui tu as raison, sans mon ancienneté dans le milieu ce serait absolument impossible et fort heureusement que je fais de l'immobilier et d'autres choses à coté sinon ce site serait fermé depuis longtemps !!!
Ce pseudo journaliste a voulu faire un truc fort, il a pondu une crotte à charge contre une industrie qu'il ne comprend pas ! C'est marrant parce qu'à Hollywood on flingue des gens du matin au soir dans les films, mais c'est pas grave, c'est du cinema !!! Pourtant on ne cesse de montrer la mort partout, aux news, dans les films etc... mais aucun journaliste n'écris sur ça en disant que c'est affreux !
Par contre si une fille aime qu'on la baise en lui mettant des tartes dans la gueule et qu'elle rentre chez elle heureuse d'avoir jouie et en plus d'avoir touché la moitié d'un smic en deux heures de temps, ça c'est la pire chose du monde et nous on est des salauds !!!

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Re: VIVE LES FRUSTRES

Post by Badre1981 »

j'ai rarement lu un blog aussi débile que ce "i like your style" je suis un défenseur de la liberté d'expression mais avec ce sujet sur le monde du X mais là on atteint le délire plus total...comme c'est facile de gerber sur les gens lorsqu'on est protégé par l'anonymat du net, quel manque de courage...
C'est qui est drôle c qu'il y'a rien de neuf, il ne fait que recycler les vieilles idéologies nazi & fasciste qui on été une horreur de l'humanité ça sonne vraiment petit ...ce cerveau vide en sait des choses pour une personne qui condamne le X, il est sans aucun doute un grand consommateur.
Et le pompon et plus blessant c'est de relancer une ignoble accusation d'assassinat (sur un ami proche qui est le comble de l'horreur) vieille de 18ans comme si t'avait encore besoin de ça, c quand même une atteinte grave à ta dignité d'homme et un mépris total pour cette souffrance vécue...

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Re: VIVE LES FRUSTRES

Post by PIERRE WOODMAN »

Oui et c'est pour ça que je vais bien leur rentrer dedans !!!

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Re: VIVE LES FRUSTRES

Post by davidc »

En plus, cet article est truffé de généralité totalement illogique exemple... "les femmes entre 18 et 30 ans"... alors que chaque filles est différentes....

Le cliché du producteur de porno milliardaire en ferrari il ne manque plus que le cigare, le panama, la chemise ouverte sur le torse et les gourmettes en or et on est dans un mauvais film de série Z!!!! :lol: :lol: :lol: :lol:
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