Pour son avocat Me Pierre Chami, "elle ne comprend pas qu'après 20 ans de bons et loyaux services, on la jette comme une malpropre pour un clip de moins de cinq minutes". "Le directeur a vu un soutien-gorge dans un jacuzzi aspergé de champagne et il s'est arrêté là", déplore le conseil. Or, selon lui, sa cliente, qui exerce l'activité de comédienne à titre de loisir, a participé à ce clip "avec la volonté de faire une performance d'acteur et de parler du phénomène de société des femmes cougars en le tournant en dérision, sur le ton de l'humour". Atteinte par le passé d'un cancer du sein, dont elle est sortie "mutilée", elle avait à coeur de montrer qu'"à 50 ans, on n'est pas foutu", ajoute Me Chami.
Dénoncés par des élèves. Bande de petits cons.

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