Discussions générales sur Jacquie et Michel

Pierre Woodman is one of the biggest porn maker of the world. Ask him everything you want to knows about girls and porn business. Hot News inside.
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PIERRE WOODMAN
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Re: Discussions générales sur Jacquie et Michel

Post by PIERRE WOODMAN »

Jean wrote:
Mon Jul 17, 2023 11:32 pm
https://www.lalsace.fr/faits-divers-jus ... ch-bukkake

Capture d’écran 2023-07-18 à 07.59.22.png
J'espère que la justice fera son travail proprement mais à mon sens que des gens soient en prison depuis trois ans quand des tonnes de racailles courent les rues en france aprés avoir commis des crimes qui me semblent bien plus graves me détourne de l'idée que ses gens puisse avoir droit à un procés équitable surtout aprés une telle médiatisation !!!

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Lionel
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Re: Discussions générales sur Jacquie et Michel

Post by Lionel »

Je pense que les accusations d'esclavage sexuel sont un prétexte pour tomber sur des gens qui en savent peut etre un peu trop sur les délires de nos élites. Va savoir s'ils ne fournissaient pas les puissants... Ajoutez à ça le fait que tout devait se faire plus ou moins au black, on sait que la justice est bienveillante vis à vis de la racaille mais moins vis a vis des fraudeurs aux impôts. Tu prends du sursis pour viol aujourd'hui en France mais du ferme pour travail dissimulé...

Une actrice francaise dont je dois taire le nom m'avait fait lire des courriels qu'elle recevait de rabatteurs, ça bossait clairement pour des "puissants", et ça proposait des plans zoophiles au calme... Ca se passait en France, pas aux Émirats.

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PIERRE WOODMAN
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Re: Discussions générales sur Jacquie et Michel

Post by PIERRE WOODMAN »

Je sais bien oui !!!

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Jean
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Re: Discussions générales sur Jacquie et Michel

Post by Jean »

J'ignore qui à tort et qui à raison dans cette affaire, probablement très complexe, on dirait juste que, éventuellement, d'un certain côté, les types ont, peut être, un tout petit peu, cherché aussi un peu le "bâton pour se faire battre", parcque 40 dépôts de parties civiles, c'est un peu beaucoup quand même :ugeek:

GrosNichons
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Re: Discussions générales sur Jacquie et Michel

Post by GrosNichons »


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PIERRE WOODMAN
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Re: Discussions générales sur Jacquie et Michel

Post by PIERRE WOODMAN »

Chacun à son mot à dire sur le sujet !!!
Entre les ignorants débiles qui pensent que le porno est aux mains de la Mafia, les pseudo féministes qui surfent sur ce problème précis qui sonne comme une aubaine pour eux, les rageux, les jaloux, les frustrés bref on a de quoi écrire 100 pages par semaine !!!
Discriminer l'ensemble de l'industrie pornographique à cause d'un ou deux individus sans scrupule reviendrai à dire chaque fois qu'on arrête un ripoux que tous les flics sont corrompus ou que tous les curés sont pédophiles etc !!!
Il faut savoir faire la part des choses et attendre le jugement pour en tirer des conclusions mais tout ce qui a été dit jusqu'à présent n'est pas forcement la vérité donc j'attend le jugement en espérant qu'ils auront droit à un procés équitable !!!

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Re: Discussions générales sur Jacquie et Michel

Post by Jean »


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PIERRE WOODMAN
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Re: Discussions générales sur Jacquie et Michel

Post by PIERRE WOODMAN »

Tant mieux, qu'on en finisse avec tout ça et que ceux qui ont fait des saloperies soient punis comme il se doit et que ceux ( car il y en a ) qui ont été pris dans cette tourmente sans pour autant être des méchants soient lavés de tout soupçons !!!

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Lionel
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Re: Discussions générales sur Jacquie et Michel

Post by Lionel »

« French Bukkake » : les blessures à vie des victimes
Les parties civiles demandent la reconnaissance de la « torture » qu’elles disent avoir subie

Le Monde
samedi 9 décembre 2023
Chaque matin, à peine a-t-elle ouvert les yeux qu’Emilie (tous les prénoms des jeunes femmes ont été modifiés afin de les protéger) attrape le pilulier sur sa table de nuit. Elle enlève les boules Quies qui la protègent de son hyperacousie, puis avale des bêtabloquants pour calmer sa tachycardie et des anxiolytiques contre son angoisse généralisée. Ensuite, elle attend que les molécules fassent effet pour se lever.
La trentenaire souffre aussi de bruxisme : la crispation involontaire de ses dents est telle qu’elle a dû se faire injecter près de 700 euros de botox dans la mâchoire pour compenser. « J’en suis à 12 000 euros de soins pour gérer les symptômes des viols que j’ai subis dans l’affaire French Bukkake et, après, la justice vient nous expliquer que c’est pas de la torture ? », exprime, énervée, celle qui est partie civile dans l’une des plus grandes affaires de violences sexuelles de l’histoire judiciaire française, le dossier dit « French Bukkake », du nom de ce réseau qui a filmé, puis diffusé des centaines de vidéos pornographiques de jeunes femmes agressées.
Ouverte au printemps 2020 et menée par la section de recherches de la gendarmerie de Paris, cette immense enquête a abouti à la rédaction d’une ordonnance de mise en accusation devant la cour criminelle départementale de Paris, fin août 2023. Les deux juges d’instruction du dossier demandent qu’au nom d’une « pratique systémique », dix-sept hommes soient mis en accusation pour « viols en réunion », « traite d’êtres humains en bande organisée » ou encore « proxénétisme aggravé » sur une cinquantaine de parties civiles.
Les jeunes femmes, aux prises avec les conséquences très lourdes des blessures imposées par le réseau, ont demandé à leurs avocats de faire appel de l’ordonnance devant la chambre de l’instruction, afin d’obtenir la reconnaissance d’un certain nombre de circonstances aggravantes qui déclencheraient la tenue du procès devant une cour d’assises et l’augmentation des peines encourues pour les auteurs.
« Comme une poupée gonflable
« Des dossiers comme ça, il n’y en a pas beaucoup dans l’histoire, et on ne peut pas se permettre une sous-justice », argumente Me Vanina Meplain, avocate de Sofia.Ainsi, la quarantaine de représentants des parties civiles plaide pour l’ajout dans les chefs de mise en accusationde la « particulière vulnérabilité » des victimes, connue des auteurs, des motifs de « sexisme » et de « racisme » (le dossier foisonne de qualificatifs comme « beurette » ou « vide-couilles ») et surtout d’« actes de torture et de barbarie ».
« En droit pénal, ce qui différencie les actes de torture et de barbarie des autres types d’atteinte aux personnes repose matériellement dans la gravité exceptionnelle des faits et dans les souffrances aiguës causées à la victime. Ils doivent avoir été effectués dans la volonté de nier à la victime la dignité de la personne humaine, défend Me Seydi Ba, avocat de Fanny. En l’espèce, tout y est, dans ce dossier, les femmes ont souffert intensément, physiquement et moralement, et ont été traitées comme des objets au dernier degré. » Dans l’attente de la décision qui doit être rendue par la chambre de l’instruction, le 14 décembre, cinq d’entre elles ont souhaité raconter au Monde comment elles vivent avec cette affaire.
A peine en retard, Soraya s’en excuse trois fois. La nuit précédente, la jeune femme, qui termine un master de finance en alternance, n’a pas dormi. Les insomnies, la fatigue, les pleurs le matin même au bureau et donc le retard le jour du rendez-vous. Elle appréhendait de parler encore une fois de la pire chose de sa vie : comment, à 24 ans, elle est tombée sous la coupe du réseau French Bukkake. Veste ceintrée, maquillage ajusté, ongles faits, Soraya maîtrise son apparence. « J’ai toujours l’air forte et propre sur moi. J’ai besoin que les gens soient surpris, que je n’aie pas la tête d’une victime pour qu’on m’écoute », justifie-t-elle, avant de sortir de son sac des feuilles sur lesquelles elle a griffonné au stylo noir les éléments qu’elle ne voulait pas oublier de dire au cours de l’entretien.
Elle décrit d’abord un banc, celui contre lequel son dos râpait quand une vingtaine d’hommes, le sexe apparent, la secouaient dans tous les sens en 2016, « comme une poupée gonflable ». Elle est forcée à faire une fellation à chacun d’entre eux. « J’arrive à peine à en faire une en temps normal, comment j’aurais pu vouloir en faire vingt d’un coup ? » A un moment de la séquence, un participant demande s’il peut en plus lui cracher dessus. Elle proteste. « On ne te demande pas ton avis », lui rétorque Pascal Ollitrault, considéré comme la tête du réseau French Bukkake, producteur et réalisateur de vidéos pornographiques.
Les chiffres des violences qu’elle a subies sont massifs. En tout, elle a compté : « J’ai été violée 240 fois, ce n’est pas de la torture, ça ? Quatre-vingt-huit fois sur le Bukkake, quarante-quatre fois en une heure. Je sais que j’ai été violée, ce n’est pas ça le sujet, le sujet c’est la torture. Aucun humain n’est capable d’absorber quarante-quatre pénétrations en une heure. Ce qu’on nous a fait, c’est ce que les barbares faisaient aux femmes dans l’Antiquité, on n’a pas plus évolué que ça ? », interroge-t-elle.
Fanny, recrutée par French Bukkake en 2016, prononce les mêmes mots que Soraya : « Je n’ai pas juste été violée. J’ai eu mal, j’ai saigné, l’un des participants a crié : “Achève-la !”J’ai passé un week-end en enfer. On était échangées comme des cartes Pokémon, on se croirait revenues aux temps de l’esclavage. » Les accusés sont mis en accusation pour « traite d’êtres humains » rappelle cette gestionnaire de paie dans la fonction publique, estimant que leur bataille pour la reconnaissance de la torture n’est pas une « coquetterie » des victimes, mais un « combat contre la destruction des femmes ».
« Meurtre social »
Quelque part en banlieue parisienne, des poissons tournent dans un aquarium, des chats se roulent sur un canapé moelleux : Elsa a fait de l’appartement qu’elle partage avec son compagnon un cocon rassérénant. « Les plantes et la déco, c’est pour mettre de la beauté dans un endroit où je fais que pleurer », prévient la secrétaire de direction. Blottie sous un plaid, elle décrit l’enfant de 8 ans qu’elle était et qui jouait à la boîte aux questions dans son école. « Là, j’ai posé des questions sexuelles. Alors la maîtresse a convoqué ma mère, j’ai dit ce que mon père me faisait. On s’est rendues au commissariat. Il a été condamné pour ça. Puis il s’est suicidé, j’avais 11 ans. Le porno repère les filles abîmées et gagne de l’argent avec »,commence-t-elle. En 2018, elle passe par la plate-forme pornographique French Bukkake, y vit des claques, des étranglements, des étouffements, des crachats. Elle termine le tournage avec une maladie sexuellement transmissible.
Idem pour Emilie, qui finit à l’hôpital avec une gonorrhée et des infections à chlamydia, malgré ses nombreux refus, dès le début du tournage, de participer à la séquence au cours de laquelle elle ne fait que pleurer. Elle pense avoir été droguée. Sofia aussi se souvient d’avoir tellement pleuré que la scène est interrompue. Elle doit nettoyer le mascara qui lui coule sur le visage. A la fin du tournage, Emilie ne touche que 200 euros contre les 4 000 promis. Pascal Ollitrault refuse de lui rembourser le plein d’essence pour rentrer chez elle, arguant du fait qu’elle « avait été plus nulle qu’une débutante ».Dans le dossier, deux autres plaignantes ont beaucoup saigné après les tournages : leur col de l’utérus était fissuré, à tel point que l’une d’entre elles a été opérée pour cautériser les lésions.
« Un viol mis sur Internet, c’est un meurtre social »,poursuit Emilie. Car, selon les victimes, à la « torture » du tournage s’ajoute celle de la publication des vidéos. A toutes, le réseau avait promis une diffusion confidentielle sur un site privé au Canada. En réalité, quelques jours plus tard, tout Internet est contaminé des images des viols. En 2018, Emilie reçoit des centaines de messages, clique sur le lien, en état de choc, vomit, puis se précipite au commissariat. Les policiers ne la prennent pas au sérieux. Aucune suite judiciaire n’est donnée à sa plainte.
A l’époque, Fanny travaille en alternance dans une boulangerie. Lors de la diffusion, sa période d’essai s’interrompt sans explication de la part de son patron. Elle tombe dans la prostitution, convaincue qu’elle ne sait faire que ça, « donner son cul », être un objet sexuel, et que, dans un boulot traditionnel, elle finira toujours par être reconnue. Dans sa boîte aux lettres, elle trouve des lettres de menace : « Sale pute on va te violer », lui écrit-on. Un jour, dans le tramway de sa ville, un inconnu d’une vingtaine d’années s’approche d’elle et lui susurre à l’oreille : « T’es Kenza ? » Elle répond non. « Si, t’es elle, et on va te séquestrer dans une cave parce que tu aimes bien ça. » Un autre jour, on lui crache aux pieds. Fanny ne supporte plus les foules, elle ne peut pas emmener sa fille de 6 ans au marché de Noël, de peur d’y croiser un homme qui se serait masturbé sur sa vidéo et la harcèlerait.
Emilie a démissionné de son poste de secrétaire médicale, craignant d’être identifiée derrière le comptoir d’accueil. Une autre fois, des hommes ont tenté de l’embarquer de force dans une voiture pour lui imposer un gang-bang. Encore aujourd’hui, alors qu’elle se bat pour reconstruire sa vie, un collègue a abordé Soraya, l’air goguenard : « Tu n’as pas quelque chose à me dire ? » Elle tente de nier. Il lui envoie la capture d’écran d’une des vidéos. Elle le supplie de ne rien révéler dans l’entreprise où elle rêve d’être titularisée – « Les filles du porno se font tout le temps virer. »
Stress post-traumatique sévère
Souvent, ces femmes ont été sorties de leur agonie psychique par l’appel d’un gendarme en 2020-2021. Fanny marche dans la rue quand le directeur de l’enquête sur French Bukkake la contacte. Elle s’effondre, sur le pas de la porte d’un bar. Il se présente, lui décrit l’affaire, les viols en réunion, les arrestations, le réseau, l’audition à laquelle elle doit se rendre. « Ce jour-là, j’ai compris que je n’étais plus coupable et ­isolée, mais la victime d’une grosse mafia. »
Mais la procédure appuie sur les blessures. Toutes les cinq décrivent des symptômes précis de stress post-traumatique sévère. Emilie ne peut plus voir un chauve – Pascal Ollitrault l’est. Elle a pris du poids, changé sa couleur de cheveux, a tenté de faire effacer ses tatouages et a même pris rendez-vous chez un chirurgien esthétique pour faire modifier son visage. Sofia ne supporte plus les publicités pour la marque de lunettes de soleil que portait Pascal Ollitrault.
La honte corrode leurs proches. Le frère de Soraya l’a frappée après avoir regardé les images. « Pute », « suceuse de bites », il l’insulte régulièrement. Le week-end dernier, le compagnon d’Elsa a regardé les vidéos. Il a pleuré dans ses bras, et mieux compris toutes les difficultés de leur vie intime. « Je culpabilise de lui imposer un truc pareil », s’émeut-elle. Les mères, pères et sœurs ne les soutiennent que rarement, ils ne sont généralement pas au courant : il faut les protéger de « ce cancer qui les tuerait », pense Soraya.
L’anonymat devient un enjeu cardinal, à la mesure du harcèlement subi. Dans certaines affaires de violence sexuelle, le nombre de plaignantes permet à ces dernières de s’encourager et d’apparaître à visage découvert dans les médias. Ici, aucune d’entre elles n’est prête à donner ne serait-ce que son vrai prénom.« A la différence des victimes de Patrick Poivre d’Arvor qui ont pu révéler leur identité, moi, mes viols circulent encore sur Internet. Je suis réduite au silence à cause de ça, je ne peux pas faire la “une” de Libération parce que la société n’est pas prête à nous écouter », regrette encore l’étudiante en finance.
Débat entre les magistrats
Dans son argumentaire écrit de l’audience devant la chambre de l’instruction du 3 novembre, que Le Monde a pu consulter, le magistrat du parquet général de Paris convient du « sentiment légitime et parfaitement respectable des victimes » à ressentir qu’elles ont été victimes de viols aggravés par des actes de torture et de barbarie. Selon lui, il faudrait démontrer la présence dans le dossier d’actes de privation de soins, de nourriture ou de repos, ou d’actes commis à l’aide d’objets ou d’animaux, en somme des « pratiques sadiques ayant pour finalité la négation de la personne humaine ».
L’avocat général considère qu’il n’y a pas « d’élément en la matière ». Il poursuit sa démonstration en comparant l’affaire French Bukkake aux « pratiques de tournantes qui ont consisté, à compter des années 1990 et 2000, à imposer, le plus souvent dans des caves d’immeuble (…), des viols particulièrement sordides et éprouvants, avec une pluralité d’auteurs, à des jeunes femmes, après les avoir ­conduites dans ces lieux en usant des stratagèmes de guet-apens. ­Elles ont le plus souvent été qualifiées par les cours d’assises de “viols aggravés par la pluralité d’auteurs” et non de “viols avec ­actes de torture ou de barbarie”. »
Ensuite, le magistrat estime qu’il n’appartient pas à la chambre de l’instruction de requalifier les faits, afin qu’ils ne soient pas jugés devant une cour criminelle départementale, mais devant une cour d’assises, « au motif que la cour criminelle n’aurait pas l’aura ou la signification symbolique de la cour d’assises ». Enfin, selon son raisonnement, « si les faits révélés par l’enquête peuvent donner lieu à un débat public sur l’approche sociétale du marché de la pornographie et des modalités de contrôle de l’industrie, il n’appartient pas à la chambre de l’instruction de se substituer au législateur ».
Cette question de l’incrimination de la torture dans les deux procédures concernant l’industrie pornographique française est un débat même entre les magistrats parisiens qui en ont la charge : l’affaire French Bukkake a de fait une enquête jumelle, celle qui concerne un autre site Internet diffuseur de vidéos pornographiques, Jacquie et Michel – le ­leader français du marché. Dans cette deuxième affaire toujours à l’instruction, un accusé est mis en examen pour « viols avec torture et actes de barbarie ».

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Post by PIERRE WOODMAN »

il y a clairement eu des abus vis a vis de certaines filles et loin de moi l'idée de dire que Pascal OP est un gentil garçon mais quand même une fille qui se tape 70 mecs aprés avoir dansé et rigolé au milieu d'eux certe elle tire grave la gueule au bout d'un moment et là il aurait fallu arrêter le tournage c'est une évidence mais tout de même elle est revenu une semaine plus tard pour s'en taper 50 de plus et finalement porter plainte pour viol un an aprés !!!
Moi ce genre de chose ça me pose un problème. J'ai tellement vu de fille salope et cinglées jusqu'au bout des ongles essayer de me faire du tord voir même m'estorquer du fric où juste se faire payer pour me créer des problèmes que je pense que sur certaine partie de l'affaire OP il y a des gens qui ont morflé trés fort pour des choses qu'ils n'ont pas fait !!!
C'est mon point de vue ...

Il y a peu de temps une fille m'a demandé de faire un tweet ce que j'ai fait et elle l'a retweeté sur le champs en m'envoyant des petits coeurs et me remerciant par sms ( en plus j'avais travaillé une demi heure sur l'image avec photoshop ).
4 jours plus tard elle m'a demandé de le supprimer. J'ai juste demandé "pourquoi" et là elle est partie en vrille en me faisant comprendre que si je ne le faisais pas immédiatement j'allais parler avec son avocat parce que c'est son image et que personne d'autre qu'elle ne peut décider à sa place de ou et comment son nom et sa personne peuvent être utilisé etc ...
Donc je l'ai fait et ensuite elle m'a renvoyé des petits coeur et veux m'inviter à diner ...

On est dans un monde de frappadingues et c'est méga flippant. Aucun homme en 2023 ne peut prétendre être en sécurité à 100 % face aux mensonges et à la détermination diabolique de certaine femmes.
Comme je l'ai dit maintes fois, si je n'avais pas eu cette paranoïa de la fausse accusation aprés l'affaire de Tyson en 1992 qui m'a poussé à filmer tout ce qui se passait hors caméra pendant mon travail depuis plus de 30 ans et qui est un vrai sacerdoce parfois tant cela est contraignant voir même chiant, je suis persuadé que je serais en taule depuis longtemps !!!
Cette année encore face aux multiples accusations du clown anglais ce sont mes interviews de consentements sur tout ce qui se passe dans mes videos qui m'ont permis de m'extirper des problèmes qu'il a tenté de me faire avec les banques.
J'ai du montrer patte blanches sur + de 1000 videos du site et ça m'a pris beaucoup de temps. Ce fut un mal pour un bien puisqu'au final grace à toute cette merde il a contribué à rendre mon image propre auprés des processeurs americain mais bon voilà on est dans un monde de dingues où des esprits malsains peuvent détruire la vie de leur prochain en 5 secondes grâce aux reseaux sociaux et la tendance actuelle très en vogue des" Woke" "Metoo" etc ... qui poussent les gens à être des moutons asservis prêt à croire tout ce qu'on leur raconte et mettre au bucher les sorcières d'aujourd'hui comme le porno par exemple.

J'ai donc le sentiment que l'affaire J&M est autant politique que destinée à aider des femmes victimes de monstres ...

PW
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